Le Reporting Financier

Publié le par koukou

2 ième partie

Qu'est-ce que le Reporting ?

 

Les outils de reporting proposent la réalisation de rapports selon un format prédéterminé.

Les bases de données sont interrogées selon les requêtes SQL préparées lors de l'élaboration du modèle. Le rapport peut ensuite être diffusé sur l'Intranet, périodiquement en automatique ou ponctuellement à la demande.
L'outil d'élaboration du modèle du rapport offre bien entendu des fonctions spécifiques de calcul et de présentation (graphiques) afin de concevoir des comptes rendus particulièrement seyants et pertinents.

Avec les outils requêteurs l'utilisateur peut formuler des requêtes d'interrogation " ad hoc " à volonté.

Remarque : Les outils de reporting ne sont pas à proprement parlé des instruments d'aide à la décision. Bien que, lorsqu'ils sont utilisés correctement, on peut juger qu'ils permettent au responsable de disposer d'une précieuse vue d'ensemble de son activité, ils sont en fait surtout destinés à "rendre compte" du travail effectué auprès de la hiérarchie.
Le reporting s'inscrit dans une longue tradition du management par le contrôle. Nous sommes bien loin des possibilités d'autonomie que peut offrir la technologie de la Business Intelligence aujourd'hui (à propos du management par le contrôle).
Ainsi, on ne confondra pas Reporting avec tableau de bord. Ces deux instruments n'ont absolument rien à voir.

Le reporting financier

Préparer un budget, élaborer des rapports consolidés, valider les budgets, exploiter l'analyse financière, autant de fonctions indispensables pour une saine gestion financière. Quelques éditeurs de Business Intelligence s'en sont fait une spécialité et proposent une palette d'outils assez complète. A noter, la question du reporting financier prend désormais une nouvelle importance avec la mise en oeuvre des normes IAS IFRS
Suivre les produits de Cartesis (désormais Business Object), Cognos, Comshare par exemple.

Data Warehouse et DataMart

Qu'est-ce qu'un Data Warehouse ?

Le Data Warehouse est une base de données dédiée au stockage de l'ensemble des données utilisées dans le cadre de la prise de décision et de l'analyse décisionnelle.

Le Data Warehouse est exclusivement réservé à cet usage. Il est alimenté en données depuis les bases de production grâce notamment aux outils d' ETL  Extract Transform Load.

Le Data Warehouse n'est pas une simple copie des données de production. Le data warehouse est organisé et structuré.
 
"Subject oriented, integrated, nonvolatile, time variant collection of data in support of management decisions".

On en retient les 4 caractéristiques essentielles du Data Warehouse :

Orienté sujet
Au coeur du Data warehouse, les données sont organisées par thème. Les données propres à un thème, les ventes par exemple, seront rapatriées des différentes bases OLTP de production et regroupées.

Intégré
Les données proviennent de sources hétérogènes utilisant chacune un type de format. Elles sont intégrées avant d'être proposées à utilisation

Non volatile
Les données ne disparaissent pas et ne changent pas au fil des traitements, au fil du temps. (Read-Only)

Historisé
Les données non volatiles sont aussi horodatées. On peut ainsi visualiser l'évolution dans le temps d'une valeur donnée.
Le degré de détail de l'archivage est bien entendu relatif à la nature des données. Toutes les données ne méritent pas d'être archivées.

Qu'est-ce qu'un DataMart ?

Le DataMart peut être défini comme la version "lite" du Data Warehouse.
Plutôt que de viser l'universalité des thèmes, le DataMart se focalise sur un sujet, un thème ou un métier. Moins lourd, le projet est plus rapidement à son terme et les utilisateurs accèdent sans attentes exagérées à l'outil.
Les problèmes commencent lorsque les DataMarts se multipient, doublonnent nécessairement, et complexifient la gestion des données ...

Le projet Data Warehouse
Un processus continu

Une démarche singulière

 

La toute première génération de Data warehouse a été marquée par une succession d'échecs. Les concepteurs appliquaient le "postulat du technicien" : " Si je mets le maximum de données, les utilisateurs trouveront leur bonheur."


Bien entendu, avec une hypothèse erronée dès le principe, on ne peut que bâtir des usines à gaz.

En fait, le projet Data Warehouse est un processus. Il sera toujours en perpétuelle évolution, que ce soit sur le plan du nombre d'utilisateurs que celui des thématiques traitées.

Il est important de considérer le projet Data Warehouse non pas comme unique mais plutòt comme une succession de projets plus légers, focalisés sur les besoins métiers, répondant chacun à une nécessité clairement identifiée et définie. Chacun des projets s'intégrant avec le précédent et ouvrant des pistes pour les suivants. Un peu comme un puzzle sans fin.
C'est la solution pour suivre de près les attentes des utilisateurs et maîtriser le ROI du projet.

Les 4 temps du projet

Identifier le besoin auprès des utilisateurs
Le data warehouse est le pivot du système décisionnel. Les données stockées seront transformées en informations et exploitées par les utilisateurs-décideurs. Il semble donc primordial de placer les besoins des utilisateurs au centre de la problématique.
C'est vrai quel que soit le projet d'informatisation. Mais dans le cas du projet Data warehouse, cette omission ne pardonne pas.
Ainsi, chacune des phases du projet sera définie sous l'éclairage des nécessités utilisateur, des besoins métiers. On accordera un soin particulier à la délicate phase de collecte et notamment les opérations de nettoyage, de formatage et de consolidation. Ne perdons pas de vue qu'une donnée n'a pas de valeur en soi. C'est bien l'utilisateur-décideur qui transformera les données en information.

Modéliser les données

Choisir l'architecture technique

Implanter et déployer
Elaboration des schémas d'accès aux données et des règles de nettoyage et de consolidation. Voir aussi Data Warehouse et DataMart.

Le projet Data Warehouse
Modélisation des données « le schéma étoile »

Les bases OLTP sont conçues selon le modèle entité relation (dont est issue notamment la Méthode MERISE de H. Tardieu).

Pour éviter les tragiques problèmes de conception (redondance, indexation hasardeuse...) il existe des techniques de "normalisation" pour guider le processus de conception. Ces techniques de normalisation sont appelées les formes "normales".
Pour mémoire, il existe 3 formes normales principales dénommées : 1FN, 2FN, 3FN garantissant l'atomisation entité, propriétés, relation et la clarté du schéma relationnel implanté.
Le Data Warehouse n'a pas du tout les mêmes exigences ni la même utilisation.
Les modèles de conception sont totalement différents. Ils sont dénormalisés par définition. On en retient deux principaux : le schéma en étoile (Star Schéma) et le schéma en flocon (Snowflake Schéma).

Le modèle de données en étoile

Le modèle de données en étoile doit son nom à sa forme. Ce modèle de conception privilégie l'approche utilisateur, l'orientation métier.
La table de référence contient les faits. Les faits ou mesures sont les données chiffrées (du type résultats par secteur). Les tables satellites correspondent aux dimensions. Ce sont les axes d'analyse des utilisateurs.
Ainsi, dès la conception, la base est orientée en tenant compte des types de recherche des utilisateurs.

Le modèle de données « en flocon » est une variante du modèle en étoile.

Architecture du Data Warehouse
SMP, MMP, ou Cluster,  que choisir ?

Architecture technique du Data Warehouse

1. SMP (Symetric Multi-Processing)
Principe : Le modèle d'architecture de type « SMP » est fondé sur l'exploitation de plusieurs processeurs identiques, oeuvrant en parallèle et partageant une mémoire commune.
Inconvénients : La mémoire est unique, la synchronisation de l'accès à la mémoire par les différents processeurs constitue le principal inconvénient de ce type d?architecture.

2. MMP (Massively Parallel Processing)
Principe :Le modèle d'architecture de type « MPP » est fondés sur l'exploitation d'un nombre important de processeurs. Chaque processeur dispose de sa propre mémoire.
Inconvénient : Nécessite des développements spécifiques. Les traitements doivent être prévu dès la conception pour une exécution sur ce type d'architecture.

3. Cluster 
Principe : Avec l´architecture de type « Cluster », les ordinateurs sont organisés en «  grappe ». Ils sont interconnectés par des liaisons rapides Ethernet. Sur le plan du principe, le fonctionnement est assez proche de l'architecture MMP.
Inconvénient : Le programme à exécuter doit impérativement être développé pour ce type d’architecture.

Recommandation

Comme pour tous systèmes informatiques, l'architecture technique du Data Warehouse sera choisie et dimensionnée en tenant compte de la volumétrie, du nombre d'utilisateurs et de la charge d'activité potentielle.
Pas facile à définir pour un projet en continuelle évolution. Attention au sous dimensionnement et n'hésitez pas à jeter un oeil sur les réalisations de la concurrence.

Le système de tableaux de bord et la gestion de la connaissance

 

Les tableaux de bord, Gestion de la connaissance et groupware     

Les structures organisationnelles les plus efficaces sont fondées sur la répartition de la prise de décision au plus près du terrain. Les premières générations d'outils de tableau de bord, anciennement progiciels d'EIS (Executive Information System), étaient destinés à un nombre d'utilisateurs limité. Aujourd'hui, tous les acteurs de l'entreprise sont concernés et les outils décisionnels seront déployés à grande échelle : EIS devient Everyone ou Enterprise Information System.
La dynamique de l'Internet/Intranet et notamment la vague des portails d'entreprise, arrive à point, nommé pour assurer l'échange des informations de l'entreprise étendue entre un maximum d'utilisateurs.
Une prochaine génération d'outils de tableaux de bord intégrant les indispensables fonctions d'échange, de communication et de partage de la connaissance est impatiemment attendue. Ces nouveaux outils seront d'un immense secours pour assister les décideurs lors de la phase essentielle d'instruction du processus de prise de décision.
Suivons de près la relation étroite entre groupware/partage de la connaissance et décisionnel, elle se développera à court terme.

COMBIEN VAUT VOTRE ENTREPRISE ?

Les bases de l'évaluation et les autres paramètres à intégrer

Il n'existe aucune technique unique et absolue.

Une estimation réaliste de la valeur d'une entreprise peut être obtenue en combinant plusieurs approches. Les quatre principales sont :

- Analyse de compagnies similaires : celles-ci sont basées sur l'existence de marchés financiers où le cours de bourse peut être comparé aux éléments clés de l'entreprise : chiffre d'affaires, profits, … Lorsque l'on effectue une comparaison avec la valeur d'une entreprise non cotée, il est d'usage de procéder à une décote prenant en compte l'absence de liquidité du marché.

- Analyse de transactions comparables : cette approche est très similaire à la précédente. Toutefois, les modèles analysés portent sur des opérations récentes dans le même secteur d'industrie ou ayant des caractéristiques proches de l'entreprise à évaluer.

- La méthode des cash-flows actualisés. Elle est basée sur un principe simple : la valeur d'une entreprise est fondée sur la valeur actuelle des cash-flows qu'elle génèrera dans le futur et, plus généralement, la valeur d'un actif dépend de ce qu'il rapporte.

- L'approche patrimoniale. Celle-ci consiste à déterminer la valeur nette, après valorisation des actifs aux prix du marché et imputation de toutes les dettes de l'entreprise.

 

Les autres paramètres à intégrer

Bien des aspects des forces et des faiblesses d'une entreprise ne sont pas appréhendés lors de l'utilisation des méthodes quantitatives, bien qu'elles soient une étape fondamentale dans la détermination de la valeur. Certaines d'entre elles peuvent revêtir une importance primordiale pour beaucoup d'acheteurs tandis que d'autres n'auraient d'importance que pour une minorité d'entre eux. C'est pourquoi trouver le bon partenaire ou acheteur au moment adéquat peut faire toute la différence dans l'optimisation de l'opération.

Il est difficile de donner une liste exhaustive des éléments qualitatifs qui vont influencer un acheteur. Parmi les plus significatifs on peut citer :
- Une part de marché dominante
- La taille de l'entreprise et la notion de masse critique
- La qualité et la force des relations clients
- Des produits de masse ou de « niches »
- Les relations avec les syndicats
- Le niveau de l'expertise technologique
- Les aspects juridiques et fiscaux
- Le taux de rentabilité des capitaux investis
- La qualité du management
- L'intensité concurrentielle
- L'implantation géographique
- …

L'influence des conditions générales du marché doit également être prise en compte dans l'approche de la valeur. Si votre entreprise se situe dans un secteur très actif en terme d'alliances ou de fusions, un « sur-prix » est susceptible d'être offert par un acheteur potentiel. De même, certaines entreprises peu profitables peuvent avoir, si elles se situent dans un secteur en croissance très forte, une valeur supérieure à celle d'une société rentable sur un marché à évolution lente ou très mature.

Dans les domaines comptables et financiers, le reporting financier occupe une place centrale dont les objectifs sont multiples : centralisation et synthèse des données globales et sectorielles, obligation de reporting externe et de communication financière, organisation du reporting interne.

L'élaboration du reporting financier est aujourd'hui rendue de plus en plus délicate du fait de la complexité croissante des structures de groupes, de l'existence de différents référentiels (PCG, IFRS...) en forte évolution ; elle doit également tenir compte de périmètres variables (comptes individuels et consolidés, intégration fiscale...) et de destinataires variés (dirigeant- propriétaire, marchés financiers...).

Face à cette complexification, cet ouvrage de synthèse présente, à l'aide d'exemples concrets et dans la perspective d'une mise en pratique efficace, les cinq thématiques essentielles de l'établissement du reporting financier :

la consolidation financière

l'information financière

le reporting en normes IFRS

la gestion de l'impôt dans un reporting groupe

l'organisation du reporting financier

Réaliser le reporting financier en normes anglo-saxonnes

Le référentiel comptable  US GAAP

Les responsables comptables de filiales françaises d'un groupe anglo-saxon ont à traduire, en normes anglo-saxonnes, les états financiers de leur entreprise.

Pour cela, il est indispensable d'acquérir une notion claire des termes comptables : EBIT, EBITDA, cash-flow, contingencies… Et également de s'approprier la culture et le système comptable anglo-saxon.

Pour qui ?

Objectifs

Programme

Les plus

Responsables financiers, comptables ou de gestion, travaillant dans la filiale d'un groupe anglo-saxon, ou ayant des filiales dans des pays anglo-saxons.

Appréhender le contexte comptable anglo-saxon.

Maîtriser la présentation des états financiers et la terminologie.

Identifier les différences de traitement entre la comptabilité française et anglo-saxonne.

Traduire les états en normes anglo-saxonnes.

S'initier aux concepts d'analyse financière anglo-saxons.

1. Situer le cadre réglementaire des états financiers

Les principes de base (normes US GAAP, SSAP).

Le principe : "substance over form".

Comparaison avec les principes français.

2. Les états financiers anglo-saxons

Présentation de la balance sheet.

L'income statement et le comprehensive income.

Les notes aux états financiers.

Le cash-flow statement.

3. Identifier les spécificités comptables anglo-saxonnes et opérer les retraitements

Les immobilisations incorporelles et corporelles.

Les modes d'évaluation des stocks.

L'évaluation des titres de placement et des créances.

Les contrats de location immobilisés : capital leases.

Dettes et provisions pour risques et charges.

Le calcul des impôts différés actif et passif.

Les capitaux propres (stockholders' equity).

4. Construire l'income statement

Distinction entre period et product costs.

Le coût de revient des ventes (cost of sales).

Reporting : écarts (variances) sur coût standard.

5. L'établissement du cash-flow statement

La notion de flux de trésorerie.

Présentation directe et indirecte.

Les trois catégories de cash-flow.

6. Cas de synthèse : "convertim"

Passage des documents comptables d'une entreprise française en bilan et compte de résultat anglo-saxons.

Réalisation du passage des capitaux propres sociaux aux capitaux propres du reporting.

7. Introduction aux concepts d'analyse financière anglo-saxons

Analyse du bilan par l'approche liquidité.

La notion de working capital.

Principaux ratios utilisés et signification.

Les différences culturelles dans le reporting financier chinois


l'évaluation des reportings financiers dans les  entreprises chinoises

Afin de comprendre et d'évaluer les difficultés et les problèmes auxquels les entreprises internationales font face en embauchant, en dirigeant ou en acquerrant du personnel de communication financière dans leurs opérations en Chine, il est crucial de saisir les différents milieux et circonstances d'exploitation des systèmes de gestion financière entre les normes internationales et celles de la Chine.

Bien que puisse planer le doute sur un directeur enclin à l'erreur en terme de ce qui, aux yeux de l'observateur inexpérimenté, peut être un cas évident de fraude, ce n'est pas toujours aussi clairement tranché. Bien sûr, le personnel corrompu existe – nous préciserons comment et pourquoi le système chinois produit cette tendance. Cependant, en raison des inefficacités de l'infrastructure de reporting financier  propres à la Chine, le personnel faillible peut également avoir tenté d'aider en toute légitimité l'investisseur étranger en piétinant certains lois et règlements fiscaux inopérants – et dans certains cas totalement inutiles – qui favorisent activement la non-conformité. Vous devez comprendre les différences entre les deux.

Il y a alors incompétence, ou le postulat que « le personnel local sait se frayer un chemin dans le système chinois ». Il peut bien le faire. Mais si ce système est lui-même non conforme, quelles chances votre personnel a-t-il de pouvoir protéger vos affaires de la fraude, d'une gestion hasardeuse, des problèmes financiers et d'audit ? Dans cet article, nous explorons les aspects intangibles de la gestion financière, du contrôle des risques et des problèmes de conformité pertinents, à la fois pour les entreprises à capitaux étrangers, le contrôle attentif des sociétés chinoises dirigées et la résolution des problèmes de conformité.

La gestion du personnel chinois

Le fait que la Chine soit un pays en voie de développement influe sur de nombreux aspects des affaires, y compris la qualité des salariés. Que le personnel financier détienne des qualifications chinoises n'est pas nécessairement indicateur de conscience ou d'expérience dans le traitement des problèmes de conformité des entreprises internationales. Les directeurs financiers en Chine, même financiers en Chine, même qualifiés (ils doivent l'être au minimum) ont aussi besoin d'assistance, de compréhension, de conseil et de management de la part de l'investisseur étranger – vous - s'ils sont capables d'apprendre à évaluer pleinement leur fonction et de faire des rapports selon les standards que vous attendez. Si cet appui se fait attendre, vous vous exposez à deux risques majeurs :

Le comportement frauduleux

L'érosion de vos standards de conformité financière

Ca ne veut pas dire que le personnel chinois est mauvais. Il ne l'est pas. Cependant, il a besoin de conseils et de contrôle afin de se mettre– ainsi que vos affaires – sur le droit chemin pour atteindre une transparence opérationnelle et financière. Pourquoi ce fossé de la connaissance– qui peut également être nommé clivage culturel - existe-t-il ?

Les insuffisances structurelles du reporting fiscal chinois

Comme nous l'avons mentionné plus haut, la Chine est un pays en voie de développement, ce qui est synonyme d'insuffisances, de règlements contradictoires, de concepts à moitié développés et d'infrastructure partiellement efficace. Ce constat s'applique aussi bien à la State Administration of Tax (SAT) chinoise qu'aux autres services gouvernementaux. Ce n'est pas une critique. C'est une étape du processus de développement.

Ceci peut et conduit certainement à des difficultés pouvant activement promouvoir la non-conformité et accroître les risques. Telles sont les problématiques que vous devez comprendre pour être capable d'apprécier la mentalité derrière certains rapports faillibles.

Publié dans octobre 2009

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